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mardi 4 octobre 2016

Initiation a l'oral

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.     Définition de l’oral :
En didactique des langues, l’oral désigne selon (Charraudeau et Maigneneau, 2002),« le domaine de l’enseignement de la langue qui comporte l’enseignement de la spécificité de la langue orale et son apprentissage au moyen d’activités d’écoute et de production conduites à partir de textes sonores si possible authentiques ».
Nous remarquons que dans la définition citée ci-dessus l’oral est la pratique de deux phénomènes, l’écoute de l’autre et la production de parole. Mais l’oral c'est le langage à travers lequel nous communiquons et qui se distingue de la parole, le langage est un aspect social, c’est la langue parlée, par contre la parole est un acte individuel comme l’a montré F. de Saussure., (1980, p : 69).
Il ne faut pas oublier aussi que l’oral est un moyen de communication, il est la base et le support de tous les échanges qui se déroulent dans une société ou dans la classe, entre tous les individus présents ;   élèves et professeur. Selon le groupe Oral Créteil définisse l’oral selon quatre axes, L’oral pour :
« Communiquer, construire sa personnalité et vivre ensemble, apprendre ses conceptions, ses représentations et construire sa pensée, réfléchir sur le langage (la langue est un objet d’enseignement). ».

Nous empruntons la définition de l’oral  de Jean-Marc Coletta (p38) sous forme d’un schéma car nous pensons qu’elle peut résumer toute la notion de « l'oral ».
Agir par la parole
Reformuler
Argumenter
Réfuter

Une pensée
Un savoir
Une identité
Une langue maternelle ou étrangère

L’oral c’est
Un discours
Des normes
Se soumettre à des règles
Au jugement des autres
Une conversation
Un dialogue
La formation des individus par la confrontation aux autres
Ecouter
Des partenaires
Un langage précis
De communication
 Linguistiques

A partir de ce schéma nous pouvons remarquer que l’oral est un ensemble de plusieurs composantes :
Il est tout d’abord une langue maternelle ou étrangère, c’est aussi une pensée, un savoir, une identité ; c’est en parlant avec une personne qu’on peut la connaître. L’oral, c’est aussi agir par la parole, argumenté, reformulé, réfuté, parlé en respectant les normes de communication et les normes linguistiques.                                             
L’oral, c’est se soumettre à des règles et aux jugements des autres, c’est une conversation, un dialogue donc un échange, écouter les autres qui deviennent des partenaires dans la conversation, mais pour pouvoir discuter, communiquer, ces partenaires doivent employer un langage précis compréhensible pour tous, un même code de communication.
2.     L’oral en classe :
Depuis quelques années les didactiques s’intéressent à l’enseignement et à l’apprentissage de l’oral ; ce qui nous pousse à nous demander quel oral enseigner en classe de langue sachant qu’il y a plusieurs types d'oral. La pratique de l’oral en classe peut avoir deux types :
L’oral parlé qui est utilisé dans la parole spontanée ou plus encore suscitée par l’enseignant, l’autre type de l'oral est l’écrit oralisé, quand il s’agit de lecture ou des réponses réalisées par écrit par les élèves c’est ce que nous appelons l'oral mono géré.
L’oral est à la fois vecteur d’apprentissage et objet d’apprentissage, à ce titre il est éminemment transversal. Essayons de définir ces deux notions :
a.     L’oral vecteur d’apprentissage :
« Les trois-quarts des échanges scolaire se passent en échange de parole » Jean François (p16).
La parole participe à la construction du savoir, c’est un moyen de transmission, que l’enseignant utilise pour expliquer, et que l’élève utilise pour répondre aux questions de l’enseignant, le fait de répondre à l’autre c’est un geste de compréhension du message émis, ou de demande d’une explication.
L’oral permet aussi de construire sa pensée, verbaliser et exprimer des idées, donner son point de vue et le défendre. Prendre la parole c’est aussi construire sa personnalité, parler en classe c’est s’engager dans son rôle de citoyen dans une petite société qu’est la classe.
b.      L’oral objet d’apprentissage :      
L’oral est aussi une norme que l’élève doit acquérir, quand on dit norme, on entend par là les aspects techniques et linguistiques de la langue ainsi que les genres de discours. L’oral n’est pas seulement le temps de parole des élèves mais aussi le silence, les gestes, c'est-à-dire le paralangage. Il ne se réduit pas simplement à une émission sonore c’est aussi l’écoute et le silence tout autant que la parole, comme le montre si bien Jean François Halté :
            « L’oral ce n’est pas uniquement le temps de parole des élèves : c’est aussi l’écoute, les attitudes du corps et la gestuelle, c’est la gestion complexe de relations interindividuelles (…) l’oral c’est en effet l’écoute tout autant que l’expression, le silence tout autant que la parole, le jeu des regards autant que celui des mots, c’est aussi la gestion des échanges et de la prise de parole » (p, 16).
3.     La prise de parole :
La prise de parole constitue un entraînement à l’autonomie, au respect, une prise en compte des différences qui existent dans une société entre les gens ; c’est une pratique authentique, démocratique, et la classe de langue est un lieu social et démocratique. Prendre la parole est une composante de la vie sociale ayant plusieurs fonctions :
-Une fonction sociale : on prend la parole parce qu'on existe, pour donner son avis, et le défendre par rapport à l’autre, la famille, la société.
-Une fonction mentale : c’est l’expression de l’activité intellectuelle.
La parole est de l’ordre de l’échange social, elle met sur scène un face à face entre  les sujets. Dans notre recherche, nous visons la  prise de parole des élèves,  qui peut signifier aussi, oser parler spontanément sans  manifester une hésitation parce qu'ils ont peur de faire des phrases incorrectes, se soucier de leurs pertinences, de leurs justesses par rapport à la norme.
La classe est le lieu privilégié de la parole, la question principale que nous nous posons est  qui parle ? Par rapport à notre enquête la réponse est claire, mais elle est inquiétante dans la mesure où l’école, et la classe en particulier, s’intéresse à l’enfant, à l’élève qui est au centre des apprentissages.
En effet, 70% de temps de parole est monopolisé par l’enseignant, nous pensons que celui-ci est l'un des obstacles de la prise de parole des élèves en classe. L’enseignant doit laisser la parole à l’élève, et ce dernier l’élève doit oser parler.
4.     Les enjeux de la prise de parole :
Il n'est pas aisé de prendre la parole. En effet, pour parler, il est nécessaire d’avoir quelque chose à dire et souvent les élèves doivent respecter et suivre les choix de l’enseignant, « qui laisse rarement la place aux réalités de la vie quotidienne ou à l’imaginaire ». Mais, parler en classe ce n’est pas dire des sottises, ce n’est pas prendre la parole n’importe comment et n’importe quand : il y a des règles à respecter. La première est de donner une réponse dans le cadre du sujet, l’élève doit apprendre à respecter le sujet proposé. Le deuxième point, est de parler d’une manière claire et précise parce que le risque de ne pas être entendu est présent. Troisièmement, l'élève doit apprendre à respecter le tour de parole, il ne doit prendre la parole que si personne ne parle, il faut que l’élève apprenne à écouter l’autre pour que les autres l’écoutent aussi, donc l’échange ne se fait pas seulement en terme de parole, mais aussi le silence partagé est un échange. 
La parole de l’élève est très importante en classe que ce soit pour l’élève ou pour l’enseignant. En effet, comme le souligne Michel Tozzi, professeur des universités à Montpellier III :
« Notre fonction de professeur n’a de sens que par rapport à l’élève. La parole de l’élève est comme un baromètre : plus les élèves demandent la parole, plus le cours est intéressant ».
 Se trouver face au silence est pour lui la pire des frustrations ; face à cette panique, celui-ci préfère le discours et même des fois un monologue vaut mieux que le  silence qui règne en classe La parole en classe est nécessaire ; elle est le moyen par lequel l’enseignant transmet le savoir, explique, interroge, étaye, mais il doit être conscient que l’élève doit parler aussi et même plus que lui. C’est en prenant la parole qu’on apprend la langue.
En effet, comme dit Dominique Bucheton
« c’est l’augmentation du volume de l’activité langagière lui-même qui est le moteur du développement langagier et culturel et pas le discours sur le langage ». (p, 113).
Quant à Evelyne Charmeux il pense que :
 « pouvoir prendre la parole n’est pas un don, c’est le résultat d’un apprentissage ».(1996, p19).
L’idée de Charmeux complète celle de Bucheton, parce que parler ne se produit pas sans une pratique langagière régulière. Le silence peut être des fois nécessaire, il est essentiel de laisser un peu de temps aux élèves pour qu’ils préparent leurs réponses. Il ressort d’un rapport de l’inspection générale relatif à l’enseignement de l’oral en France que :
« Le silence apparaît comme le moment où pourrait surgir de l’inattendu susceptible de désorganiser le déroulement du cours et non comme un temps de réflexion et de préparation des interventions ».
Contrairement à ce que nous avons remarqué lors de l'analyse de la première séance de l'activité orale, l'enseignante donne 1 minute de réflexion aux apprenants, mais dès qu'elle se retrouve face au silence, elle reprend la parole et interrompt le silence qui peut être est un moment de réflexion. Pour l’enseignant laisser la parole à l’élève est une perte de temps ; finir le cours est plus important. Les réponses du questionnaire confirment cette idée.
Or Oscar Brenifier, affirme quant à lui que pour habituer l'élève à parler, il faut savoir « perdre du temps », laisser des moments de respiration s’installer dans la classe.             
            « nous voulons du compact, remplir le plus possible….à la seconde       carrée,…..et pour ce faire, nous expliquons, écrivons, lisons, et lorsque nous posons des questions, les réponses en sont tellement attendues que nous négligeons, toute parole qui n’est pas conforme, à ce que nous avons en tête ».(2002, p.16).
Selon Oscar Bernifier, l’enseignant devrait essayer d’écouter son élève jusqu’à la fin, ne pas mettre l’accent sur les défauts de la parole de l’élève pour éviter de le bloquer et notamment les autres aussi, l'enseignant ne doit pas oublier qu'il n'est là que pour diriger, remettre, au besoin, le locuteur sur la voie.  
Parler en classe consiste à répondre aux questions du maître ; la parole des élèves se limite souvent au jeu de questions- réponses.  En classe la situation de communication est un peu particulière.
L’école traditionnelle est toujours présente, quand l’enseignant parle, l’élève est obligé de l’écouter, il n’a pas le droit de l’interrompre jusqu’à la fin de son discours
            « Quand le maître parle face au groupe, l’élève est tenu de lui laisser la Parole, de ne l’interrompre qu’avec certaines formes (lever le doigt), et Son discours s’inscrit le plus souvent en creux de celui de l’enseignant ».Michel Verdalhan (2002)
La classe est souvent un endroit où celui qui pose les questions détient les réponses. La distribution de la parole en classe est perçue comme étroitement dépendante du maître qui la gère en fonction d’impératifs pédagogiques. Parler en classe consiste à répondre aux demandes du maître et les performances orales des élèves sont souvent limitées au jeu de question-réponse.
Dillon (1999) analysant le mode dominant de questionnements en classe, donne la même description que celle donnée par Sophie Moirand (Cf.p2), il la caractérise par le fait que beaucoup d’individus (les élèves) sont questionnés tous ensemble par une seule personne (le maître).
Dillon identifie ce type d’échange à la récitation ; on demande aux élèves de dire à haute voix ce qu’ils savent de mémoire, ce qu’ils ont retenu. Ce mode de faire contient trois phases :
1-Le maître pose une question à toute la classe ;
2-Un élève y répond ;
            3-Le maître évalue la réponse et pose une autre question à toute la classe.
Des séquences de ce genre sont en effet assez peu stimulantes du point de vue de l’apprentissage. Pour Dillon, elles visent surtout à tester la mémoire des élèves, s’ils savent ce que le maître leur a enseigné ou ce qu’il leur a demandé d’apprendre ; c'est ce que l'on pourrait appeler faire réviser l’élève.
Ce type d’échange n’a pas comme objectif premier de stimuler, de provoquer la prise de parole et l’apprentissage. Il n’est pas au service de l’élève, mais bien au contraire à celui du maître, en lui permettant de vérifier les résultats de son enseignement et en même temps de garder le contrôle du groupe classe. 
Alors que la classe doit être un espace de prise de parole, d’expression spontanée et de construction de savoirs langagiers. C’est en parlant que très souvent le premier constat se fait avec l’autre, « parler est le medium de reconnaissance social »Halté Jean François (p16).La parole élaborée est synonyme de pouvoir et le fruit d’un savoir. Elle se construit dans la confrontation avec les autres, dans la reconnaissance de la parole de l’autre et l’acceptation des différences.



5.     L’Expression Orale :
La compétence d’expression orale présente selon Veltcheff et Hilton (2003 :124) L’expression orale, qui constitue un objectif fondamental de l’enseignement des langues étrangères, a connu un grand engouement avec la méthodologie SGAV, et la Didactique des langues met actuellement la communication orale au premier plan de ses priorités.
En effet, l’objectif de tout processus d’enseignement/apprentissage d’une langue étrangère est l’acquisition d’une compétence de communication afin de rendre les apprenants capables de se débrouiller dans différentes situations de communication. Cela nécessite de la part des apprenants l’appropriation des moyens linguistiques et non linguistiques pour agir et réagir de façon appropriée dans différentes situations de communication.
L’acquisition d’une compétence de communication nécessite l’acquisition des savoirs, des savoir-faire et des savoir-être. L’apprenant développe progressivement des savoirs et des savoir-faire au niveau linguistique, socioculturel et des stratégies de la communication. l’acquisition des conduites langagières orales est un processus complexe qui s’inscrit dans la durée et ne se limite pas à la connaissance de la composante linguistique. Elle englobe les autres composantes de la compétence communicative (référentielle, socioculturelle, cognitive, etc.). Négliger ces facteurs peut être source de blocage pour les apprenants étrangers. Par conséquent, il est nécessaire de tenir compte de tous ces éléments fondamentaux pour l’intercompréhension.
L’expression orale est la composante qui pose le plus de problèmes à certains apprenants mal à l’aise en prenant la parole en classe. Or, la tâche principale du professeur consiste à faire parler les apprenants, c'est-à-dire à favoriser cette prise de parole. Il peut alors utiliser des activités ludiques qui détendent l’atmosphère entre les apprenants. Il peut aussi organiser des conversations à deux ou à trois qui rendent plus facile le dialogue, la prise de parole y étant plus aisée que devant l’ensemble de la classe. Il s’agit ici de sortir de l’interaction enseignant/apprenant en suscitant aussi des interactions apprenant/apprenant et en créant les conditions d’une communication qui minimisent (dans la mesure du possible) tout ce qui inhibe la prise de parole devant les autres.
D’un point de vue méthodologique, il s’agit d’encourager les apprenants à prendre la parole en classe et à valoriser leurs productions : faire des exposés, jeux de rôle, chants, parler spontanément, lecture à haute voix, etc. Ainsi les pratiques de classe se diversifient, que ce soit au niveau de la compréhension ou à celui de la production. On utilise des entretiens, des simulations qui impliquent des résolutions de problème ou des décisions à prendre. On utilise aussi les émissions de radio, les courtes informations flashs, les bulletins météorologiques, le récit, etc. (Marinez, 1996, 91).
Dans ce cadre, la lecture à haute voix ou l’oralisation de l’écrit joue également un rôle fondamental dans l’acquisition de la compétence d’expression orale. D’après Vald(2008, 38-39), « la lecture-modèle de l’enseignant permet de fournir des bases d’apprentissage de la prononciation correcte en langue étrangère, elle propose une segmentation du texte, segmentation qui va servir de base à l’explication, elle sert enfin pour les questions d’ancrage pour les questionnements qui vont suivre ». La lecture présente ainsi un moyen très intéressant pour un travail sur la langue dans ses différents aspects : prononciation, prosodie, élocution, compréhension, vocabulaire, discussion, interaction, analyse, résumé, synthèse, etc.

La lecture à voix haute est un moyen pour les apprenants de préciser leurs représentations orthographiques et phonologiques des mots. Elle est considérée comme support à l’apprentissage, à l’évaluation et à la compréhension du texte. La lecture est ainsi une base de travail assez pertinente pour travailler différents aspects et fonctions du langage.
Quant à la phonétique, selon Cuq et Gruca, (2003, 175), elle « ne constitue plus un moment de la classe : elle est intégrée à chaque phase et est contextualisée ».
L’enseignement de la prononciation a connu aussi un regain d’intérêt à partir des
années 1990 et toutes les méthodes de FLE comportent des activités de prononciation.
La phonétique reste la base de l’acquisition d’une compétence de communication et
conditionne la compréhension et l’expression orales. Dans le domaine de la prononciation, les apprenants ne sont pas tous sur un plan d’égalité. Il est très important de corriger certaines erreurs dès le début de l’apprentissage pour qu’elles ne soient pas ancrées. Certaines techniques de correction phonétiques permettent d’atténuer ces erreurs de prononciation comme, à titre d’exemple, l’utilisation des exercices de discrimination auditive. Il est également préférable que l’enseignant connaisse le système phonique de la langue maternelle des apprenants afin d’élaborer, au mieux, des exercices adaptés aux particularités de ce système.

Pour certains élèves jordaniens (arabophones), il est difficile de percevoir la différence entre deux énoncés tels que je voudrais prendre un pain et je voudrais prendre un bain (confusion [P] vs [b]), le son [P] n’existant pas dans le système phonétique arabe. Certains apprenants ne repèrent pas facilement leurs erreurs phonétiques et peuvent être convaincus d’avoir produit [P] alors qu’ils ont produit un[b]. On doit donc essayer de leur faire distinguer les deux phonèmes pour ensuite les reproduire. Après avoir analysé les deux composantes liées à l’enseignement/apprentissage de l’oral en classe de langue, il nous semble indispensable d’aborder la question de leur évaluation.

vendredi 9 septembre 2016

norme & usage + sociolinguistique

Dans cette  vidéo , nous allons en finir une fois pour toute avec la confusion entre la linguistique, la discipline scientifique, et la norme, la convention sociale. Cela va nous permette d'introduire un domaine particulier de la linguistique : la sociolinguistique.

lundi 29 août 2016

Mythologie grecque

bonjour les amis vous avez déjà entendu parler de la mythologie greque !! vous vous demandez surement c'est quoi son histoire? d'ou viennent-ils? et c'est quoi l'histoire de ses "dieux" et "déesse" soyez ouvert d’esprit pour ainsi comprendre c'est passionnant surtout pour les adeptes de la littérature, tels que:
Antigone Lumineuse, intrépide, féminine, l'Antigone d'Henry Bauchau s'inscrit avec force dans l'histoire de la réécriture du mythe. Il fallait sans doute un roman pour incarner les passions de la jeune mendiante qui, après après avoir suivi son père, le roi aveugle Œdipe, des années durant, prend contre toute prudence le chemin de Thèbes avec l'espoir d'empêcher la guerre entre les fils de Jocaste, ses deux frères tant aimés. Commence alors pour elle une suite d'épreuves, de doutes, de joies et de déchirements
alors voila la vidéo ci-dessous qui explique brièvement la mythologie grecque
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NB: pour télécharger le roman d'antigone voilà le lien
http://lewebpedagogique.com/…/fi…/2012/09/Antigone_texte.pdf
--------------------- merci de commenter, aimer et partager

DTL

A l'occasion de la parution du DOSSIER CEPEC n°81 LA LECTURE LITTERAIRE AU COLLEGE, le CEPEC a eu le plaisir d'accueillir le 26 février dernier, Bertrand DAUNAY Professeur à l'Université Lille 3.

Cette conférence a été suivie d'un débat et de la présentation du dossier CEPEC sur la lecture littéraire au collège : quelle démarche ? quel plan d'ensemble pour le collège ? quels dispositifs pour les classes ? quelle évaluation ?

samedi 27 août 2016

cour Philippe Blanchet, professeur de sociolinguistique et de didactique des langues



Retiré sur le site lairedu: http://www.lairedu.fr/11-de-la-didact...
Philippe Blanchet, professeur de sociolinguistique et de didactique des langues, définit les concepts de base nécessaires à la production d’un enseignement de langues étrangères, qui permettent à l’apprenant d’intégrer une nouvelle langue ainsi qu’une nouvelle culture au moyen d’une pédagogie adaptée